La disproportion et la monstruosité : à quoi occupons-nous notre temps ?
L'harmonie « Les choses sont bien lorsqu’elles marchent ensemble, non isolément »
Tao écriture chinoise
(Le
Tao la philosophie chinoise signifie « voie, chemin » et le
symbole représente l’unité au-delà du dualisme)
"Et quelle est la saveur de l'acte d'unité ? Pour la reconnaître tu t'appuieras sur une profonde paix, qui accompagnée d'une douce joie, te mets en accord avec toi-même. Cet acte a pour signal la vérité la plus intègre car s'unissent en lui, la pensée, le sentiment et l'action dans le monde en étroite amitié Indubitable action valable qui s'affirmerait mille fois plus si l'on vivait autant d'autres vies ! (Silo, p.26, 1994)
Dans les blogues précédents nous avons traité de l'acte d'unité, du principe
"traite les autres comme tu veux qu'il te traite" et de certains autres
principes de l'action valable. Nous avons dit que le désaccord entre la
pensée, les sentiments et l'action mène à des situations problématiques. Par
exemple, si nous réfléchissons un peu, en nous rappelant des meilleurs
moments de notre vie, nous constatons qu'ils sont optimismes et remplis de
vitalité. Que faut-il faire pour obtenir plus de force et de vitalité ? Que
faut-il faire pour être plus optimisme ?
Dans
ce blogue nous allons aborder la question de proportion, d'équilibre et d'harmonie.
Aujourd'hui nous sommes confrontés à jouer différents rôles et occuper plusieurs fonctions. Nous sommes des travailleurs, des entrepreneurs, des
consultants, des activistes, des chômeurs et des étudiants. Souvent nous avons deux ou trois
choses à faire au même moment. Nous sommes des amis, des connaissances et sommes en contact avec des centaines de personnes sur les réseaux sociaux. Nous sommes des
conjoints, partenaires et certains sont parents. Malgré toutes ces
fonctions et rôles, nous devons trouver un temps pour s'occuper de notre bien-être, des bien-être des autres et de
l'épanouissement de notre milieu de vie.
Mais, trouver un équilibre entre le bien-être et ces choses que nous faisons et que
nous devons faire n'est pas si évident. Par exemple, fréquemment,
l'équilibre entre le travail et la vie familiale, entre les émotions, le mental et l'exercice physique se dérègle. Pour que les choses marchent
bien ensemble, il me semble qu'il faille en premier lieu, allouer une certaine
proportion à ce que nous faisons quotidiennement. Les choses doivent s'orienter
dans une direction similaire. Les choses doivent avoir des liens dynamiques et
prendre de l'expansion simultanément afin d'éviter la discorde et la
disproportion.
Aujourd'hui
les gens aiment les solutions faciles et instantanées. Par exemple, c'est bien
d'obtenir du succès en affaire et dans sa profession. Mais ce n'est pas une
bonne chose si nous faisons du tort à notre santé, à nos proches ou si nous
restons isolés de nos amis et des problèmes des autres dans le monde.
Il en va de même pour les sociétés. Par exemple, plusieurs observent que le "tout social" se
dirige de plus en plus vers cette concentration continuelle de l'argent,
autrement dit tout est subordonné à l'argent. Ainsi, il n'est pas surprenant
d'observer que nos gouvernements parlent de plus en plus comme des banquiers ou
des représentants du monde de la finance. Ils répètent qu'il n'y a plus assez
d'argent pour maintenir certains programmes éducatifs, la santé publique
et plusieurs programmes sociaux. Conséquemment, plusieurs secteurs subissent des
retards importants et affectent le milieu de vie des populations et les conditions de vie.
Mais qu'est-ce que nous devrons faire ?
" Il ne suffit pas de s'occuper ; les fourmis
en font autant. La question est de savoir : à quoi occupons-nous notre temps ? "
(citation
de Henry David Thoreau)
( - Thoreau est un essayiste et philosophe américain, La Désobéissance civile, La Vie sans principle, L'Esclavage dans le Massachusetts et Plaidoyer pour John Brown)
( - Thoreau est un essayiste et philosophe américain, La Désobéissance civile, La Vie sans principle, L'Esclavage dans le Massachusetts et Plaidoyer pour John Brown)
.
À
quoi occupons-nous notre temps ?
Que
devons-nous faire dans un monde en crise ? Comment notre vie peut-elle
avancer dans une direction cohérente alors que la société est en crise ? Que
faire face à tous ces changements constants et inattendus ? Et
pourquoi devrions-nous faire des choses alors qu'il y a tellement de situations
inconnues et de problèmes dans le monde ? D'une part, il me semble qu'il est
nécessaire d'éclaircir les questions fondamentales de notre vie, les questions
plus importantes de notre activité et les questions secondaires. En fait, ce
n'est pas le changement qui nous perturbe car il y a de nombreux aspects
positifs ; exemple, les changements technologiques et le rapprochement culturel. Malgré tout les conflits entre les politiciens de différentes nations ; ce sont les individus de différentes cultures qui se rapprochent de jour en jour. Par exemple, aujourd'hui, les nouvelles générations partagent un même espace culturel.
D'autre part, ce
qui est plus inquiétant est de ne pas savoir dans quelle direction ira tous ces
changements et où nous choisirons de diriger nos activités. Voilà comment le
questionnement de Thoreau prend tout son sens aujourd'hui : À quoi
occupons-nous notre temps ? et comment déciderons nous qu'est-ce qui est
"fondamental" et qu'est-ce qui est "secondaire" ? En fait, la question devrait être choisir ou non de donner cohérence à notre vie. Si nous
choisissons de bouger avec cohérence nous pouvons alors donner priorité à ce qui
est fondamental dans notre vie. Ainsi, les activités moins fondamentales
peuvent poursuivre leur cours, puis à ce qui est secondaire et ainsi de
suite.
"1.- Il y a un changement rapide dans le monde, mû par la révolution technologique qui se heurte aux structures établies, à la formation et aux habitudes de vie des sociétés et des individus.2.- Ce déphasage génère des crises progressives dans tous les domaines et il n'y aucune raison de supposer qu'il va s'arrêter ; à l'inverse, il tendra à s'accentuer3.- L'imprévisibilité des événements empêche de prévoir la direction que prendront les faits, les personnes qui nous entourent, et en définitive notre propre vie.4.- Bon nombre de choses que nous pensions et croyions ne nous servent plus. On ne voit pas non plus de solutions provenant d'une société, d'institutions et d'individus qui souffrent du même mal. ( ...)6.- Nous vivons en relation immédiate avec les autres et c'est dans ce milieu que nous devons agir pour donner une direction favorable à notre situation. Ce n'est pas une question psychologique, une question qui peut s'arranger dans la tête isolée des individus ; c'est un thème lié à la situation dans laquelle nous vivons.7.- Conséquents avec les propositions que nous essayons de mener de l'avant, nous arriverons à la conclusion que ce qui est positif pour nous et notre milieu immédiat doit être élargi à toute la société. Avec d'autres qui vont dans la même direction, nous mettons en place les moyens adéquats pour qu'une nouvelle solidarité trouve son cap. (Silo, 2013, p.57)
Les priorités ne
peuvent s'inverser
Les
priorités ne peuvent pas s'inverser, elles ne peuvent pas non plus être séparés
les unes en rapport aux autres à un point où notre situation se déséquilibre.
Les choses doivent aller ensemble, en évitant que certaines prennent le dessus
sur d'autres.
Un
développement harmonieux ne signifie pas que nous devons être un expert dans
tous les domaines, mais plutôt que nous apprenions à reconnaître nos besoins et
à les satisfaire harmonieusement. Les activités des sociétés ne doivent pas
aller à l'encontre de l'évolution de l'être humain et des cultures. L'être
humain doit être en mesure de s'exprimer librement et d'exprimer ces besoins
fondamentaux afin d'évoluer et faire évoluer son milieu de vie simultanément.
« Les choses sont bien lorsqu’elles marchent
ensemble, non isolément »
Pour
reprendre l’idée générale de ce principe de l'action Non-violente et le rendre
un peu plus claire, j'aimerais vous présenter le conte des magiciens
disproportionnés.
Les magiciens
disproportionnés
« Quatre
magiciens vivaient en amitié, trois d’entre eux avaient acquis des
connaissances très poussées mais manquaient de jugement ; l’autre haïssait
l’instruction mais son raisonnement était excellent.
Un
des magiciens dit : « A quoi sert la raison sans connaissance ? Elle
permet de connaître ce qui est bon et ce qui est mauvais mais non pas de
savoir-faire telle chose ou telle autre ».
Pour
illustrer ce qui venait d’être dit, le plus jeune commenta : « Nous
devons être à Persépolis demain, mais il y a une longue distance jusque là-bas,
si longue que nos chameaux ne pourront pas la couvrir en un jour ; mais grâce à
notre instruction nous pourrons le faire ?
Ils
demandèrent alors au magicien sensé d’approcher un des chameaux. Un des
magiciens lui allongea alors les pattes jusqu’à la hauteur d’une maison de
silence, l’autre lui agrandit son dos pour que chacun puisse avoir une bosse
pour s’asseoir, et le magicien restant se chargea de lui donner un cou assez
long pour qu’il apercevoir dans le lointain n’importe quel pont intéressant.
Le
matin suivant, seulement trois magiciens montèrent sur le chameau car le
magicien sensé dit : « Il faut mieux être trois que quatre quand les
problèmes s’accumulent », et les trois magiciens montèrent, se moquant du
peureux. La course commença à grande vitesse mais, en peu de temps, il n’y eut
plus assez d’eau pour étancher la soif d’un pareil animal. Pour le comble de
malheur, les violents tourbillons de sable frappaient la très haute tête de
l’énorme monstre, de sorte qu’au lieu de la dresser, il devait la porter tel un
serpent qui cour rapidement derrière sa proie.
Ainsi,
affaibli et déséquilibré par la position anormale de son cou, le chameau finit
par tomber comme une tour aux fondations défectueuses.
Le
retour des magiciens fut triste, mais heureusement, le magicien sensé les
attendait pour les réconforter. Quoi qu’il en fût, ils n’arrivèrent pas à temps
à l’endroit voulu et ne firent pas affaire.
Un
autre jour, les trois magiciens trouvèrent un animal mort voulant prouver au
magicien sensé l’utilisé des connaissances, ils dirent : « Allons,
faisons quelque chose pour ce pauvre lion mort. Mais d’abord mettons-nous tous
d’accord pour que toutes les parties coïncident bien dans un ensemble
raisonnable, car dans l’affaire du chameau, il y eut de l’habileté de la part
de chacun mais non de la part de tous les trois ensemble »,
Le
premier dit alors : « Je sais comment rassembler le squelette ».
Le
second dit : « Je peux fournir peau, chair et sang »,
Le
troisième dit : « Je peux lui donner la vie ».
Alors,
le premier rassembla le squelette, le second fournit peau, chair et sang. Et
pendant que le troisième essayait de lui donner vie, le magicien sensé lui
déconseilla de le faire, disant : « C’est un lion, si tu lui donnes
la vie, il tuera chacun de nous », « Simplet » lui dit ce
dernier, « c’est moi qui vais réduire ton bon jugement à néant ».
« Dans ce cas », - fut la réponse – « attends un moment, le
temps que je grimpe à cet arbre tout approprié ».
Quand
il l’eut fait, l’autre donna vie au lion. Celui-ci se leva et tua les trois
magiciens. Puis, lorsque le lion fut parti, le magicien sensé descendit de
l’arbre et rentra chez lui.
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Nous vivons dans un monde
interdépendant
Cette
histoire raconte de façon allégorique comment les choses vont bien
lorsqu'elles marchent ensemble et non lorsqu'elles sont isolées les unes et les
autres. Si les choses sont isolés les unes en rapport aux autres les
problèmes s'accumuleront. Nous pouvons transposer cette façon de voir à une
échelle plus grande.
Aujourd’hui
nous savons qu'il existe des inégalités monstrueuses dans toutes les sociétés.
Ce sont des inégalités sociales, économiques, culturelles, raciales, sexuelles
et religieuses. Conséquemment, si l'égalité des chances entre les personnes est
injuste et crée de plus en plus de situations difficiles et des inégalités. S'il n'existe plus de réelle coopération et de lien de solidarité entre les
cultures, les peuples, les institutions et les gouvernements - c'est que le tout est subordonné
à l'argent. Éventuellement il est fort probable que cette façon d'organiser les sociétés les déstabilisent.
En
effet, nous vivons dans un monde interdépendant et toute la méfiance actuellement présente
se traduit dans cette disproportion des moyens de surveillance. Cette
disproportion existe dans la majorité des secteurs et dans toutes les zones de
la planète. Cette situation ne pourra perdurer encore bien longtemps. Il
ne pourra y avoir de progrès possible, si le tout social continu vers la
disproportion et le déséquilibre. Par exemple, lorsque nous observons des
scènes de violence et ces personnes qui réagissent par désespoir, ces personnes
déprimées, ces personnes malades - peut-être qu'il est temps de pointer le
doigt vers ce manque d’harmonie et d'humanisation des sociétés et de la vie quotidienne
des individus. Mais ce déséquilibre n'est pas seulement à l'extérieur des
personnes. Plusieurs personnes vivent un manque d'harmonie à l’intérieur
d'elles-mêmes. Éventuellement, elles deviennent fatiguées, épuisées et vivent un désaccord entre ce qu'elles ressentent, pensent et font.
En
tant qu'individu nous devons nous rappeler que nous avons des besoins à
satisfaire. Nous avons besoin d’appartenir à quelque chose, à un groupe, à une
famille, à un groupe d'amis, à une communauté, etc. Nous devons être en mesure de donner, de recevoir, d'imaginer et de créer. Puisque nous vivons dans des
environnements avec d'autres individus, nous sommes en mesures de développer nos émotions, de
développer notre intellect et de satisfaire notre curiosité par une
diversité d'expériences.
En
fait, l’être humain a besoin de grandir et faire évoluer son milieu de vie, sa culture. Il a besoin de se développer et de donner un sens à
sa vie et d'augmenter son potentiel énergétique. Pour que l’ensemble des choses
et des activités puissent bouger dans une même direction, l'être humain doit
consacrer du temps à toutes ces choses qui forment sa vie et sa situation de
vie quotidienne. Il en va de même pour la société. Par exemple, si les
déséquilibres économiques créent du chômage et de la pauvreté pour plusieurs individus et les familles. Il est fort probable que l'éducation des jeunes et
des enfants soient directement touchés.
Aujourd'hui,
les sociétés deviennent de plus en plus aveuglées par l'importance d'une
activité ou de deux activités. Trop souvent les politiciens font des choix qui
semblent intéressants à court terme, mais à long terme peuvent déséquilibrer
l'ensemble. Comme exemple certaines sociétés privilégient la concentration des
capitaux et des avoirs ; la réussite à tout prix ; elles privilégient la confrontation et la guerre pour résoudre les conflits et les problèmes d'insécurité.
Établir nos priorités et remettre à plus tard
Bien
sûre, qu'il peut se présenter des affaires urgentes auxquelles les sociétés
doivent faire face et agir rapidement. En somme, les
sociétés peuvent toujours remettre à plus tard certaines choses qui sont
importantes et qui nécessitent du temps et de l'attention. Mais ces choix
sont possibles, seulement "si", les priorités sont clairement établies à ces
choses fondamentales. Ici nous parlons de ces choses qui permettent de maintenir la croissance et le
bien-être de l'être humain et de son milieu de vie. Si ces choses sont priorisées, le tout
marchera ensemble et il y aura progression pour l'ensemble – une
avancée pour tous. Mais si les priorités ne sont pas clairement définies, les
choses iront de mal en pire.
En
effet, il est fort possible
que lorsqu'une "urgence" surgit, les priorités seront mises sur ces
autres choses et qu'éventuellement ces autres choses deviennent
disproportionnées et monstrueuses. D'un jour à l'autre ces choses
disproportionnées risqueront de se retourner contre la société, contre
l'évolution de la culture et de l'être humain. Ainsi nous ne devrions pas être
surpris si à un moment donné cette disproportion monstrueuse déstabilise la
situation générale et perturbe le bien-être des démocraties, la progression de
la liberté d'expression, la progression de la liberté des idées, des
croyances et de l'imaginaire humain.
Finalement
à force de privilégier certaines choses et d'en négliger d'autres - les
questions fondamentales qui touche le sens de la vie resteront en suspens par "establishment". Mais curieusement
aujourd'hui ce type de question refait surface, "Quel est le sens de tout ça ? Quel est le
sens de la vie ? Qui suis-je ? Où vais-je ?" dans les écoles,
dans les universités et surtout dans les discussions entre amis. Je pense
que cette "renaissance" des questions qui portent sur le sens et la
direction de la vie et des choses est l'événement le plus extraordinaire de
notre époque. Comme c'est génial de voir cette capacité de réfléchir, de raisonnement, de questionnement. En fait, nous sommes pratiquement en situation de
chaos généralisé mais ces réflexions si fondamentales pour la vie et l'être
humain refont surface ! C'est une réaction totalement contraire au monde
naturel et animal qui fuit devant l'inconnu et devant l'inattendu.
Jusqu'à tout récemment l'être humain était craintif et avançait doucement. Mais, je crois qu'aujourd'hui qu'il prépare 'son saut'.
Jusqu'à tout récemment l'être humain était craintif et avançait doucement. Mais, je crois qu'aujourd'hui qu'il prépare 'son saut'.
En
conclusion, je sais nous sommes plusieurs millions à perçoivent
"le moment actuel" comme un moment de transition historique. C'est un
moment entre deux mondes. D'un côté, nous vivons ces événements si monstrueux
et de l'autre nous sommes face à un saut évolutif. En 2016, il faudra nous rappeler que
ce saut évolutif correspond à un besoin fondamental et vital pour l'ensemble de
l'humanité. Il nous faudra faire des avancées et cesser d'hésiter. En 2016, la
crainte et la résignation ne sont pas de mise. Évidemment
qu'il y aura encore des monstruosités et des disproportions ! Mais tout ira
pour le mieux, si nous choisissons une direction commune vers ce qui
fondamental pour la vie et l'être humain ! C'est parce que nous avançons avec
l'écho des meilleures intentions des centaines de générations qui nous ont
précédés que nous savons que ces choses sont possibles. Je reconnais la lutte
et l'effort de ceux et celles qui m'ont précédé ! Leurs actes ont créé des
mondes et des réalités dans lesquelles aujourd'hui je vis et j'évolue avec
d'autres .. et j'essaie d'y amèner ma petite contribution. Merci !
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Références:
Photo
crédit: wikipédia, le Tao et Thoreau
Le principe de la proportion des actions est tiré du livre, "Humaniser la Terre", de l'auteur Silo.
Henry David Thoreau est un personnage historique majeur de la non-violence. Dans le prochain livret de la collection Éducation à la non-violence, Henri & Oscar présenteront plusieurs grands personnages historiques de la non-violence. Le Livret sera disponible en décembre 2016.
Procurez-vous le livre "Humaniser la Terre" et les autres livres portant sur l'éducation à la non-violence ; les principes de l'action valable et l'humanisme en visitant le site www.educationnonviolence.ca
Procurez-vous le livre "Humaniser la Terre" et les autres livres portant sur l'éducation à la non-violence ; les principes de l'action valable et l'humanisme en visitant le site www.educationnonviolence.ca