Qu'est-ce qui donne ce pouvoir de déduction à Sherlock?
L'acte de se rendre compte de la spatialité de l'image dans la représentation! Autrement dit: la fonction de l'image dans l'expérience vécue de l'apprenant.
(Wikipédia "Sherlock Holmes")
L'image
Dans l'article précédent nous avons expliqué le concept central de la pédagogie de l'intentionnalité, le registre. Le registre signifie l'expérience vécue que l'on a d'un phénomène - c'est-à-dire, l'expérience de la sensation (représention et mémoire). Il est produit par les stimuli détectés grâce aux sens internes ou externes, et est accompagné d'un souvenir ou d'un élément imaginaire.
Dans cette article nous allons aborder le thème de l'image et la fonction de l'image dans l'acte de se rendre compte d'un objet. L'image est une structure formalisée par la conscience et la mémoire - à partir des sensations et des perceptions provenant des milieux extérieur et intérieur. (Les distinctions que nous faisons entre espace intérieur et espace extérieur sont basées sur les registres de limite imposés par les perceptions cénesthésico-tactiles). Par ailleurs, pour comprendre la fonction de l' « image dans la représentation », nous allons reprendre quelques idées de Jean-Paul Sartre et de Silo. (L'esquisse des émotions de Jean-Paul Sartre (1938) et La contribution à la pensée de Mario Rodriguez Cobos, Silo (1995).
Dans cette article nous allons aborder le thème de l'image et la fonction de l'image dans l'acte de se rendre compte d'un objet. L'image est une structure formalisée par la conscience et la mémoire - à partir des sensations et des perceptions provenant des milieux extérieur et intérieur. (Les distinctions que nous faisons entre espace intérieur et espace extérieur sont basées sur les registres de limite imposés par les perceptions cénesthésico-tactiles). Par ailleurs, pour comprendre la fonction de l' « image dans la représentation », nous allons reprendre quelques idées de Jean-Paul Sartre et de Silo. (L'esquisse des émotions de Jean-Paul Sartre (1938) et La contribution à la pensée de Mario Rodriguez Cobos, Silo (1995).
La spatialité de l'image dans la représentation
Les producteurs de films de science-fiction sont bien informés quant à la fonction active de l'image; mais ils n'ont pas tout à fait compris l'interjeu qui existait entre les sens, les actes de conscience et les objets de conscience. Nous allons prendre quelques exemples afin d'illustrer comment la spatialité des images permet à l'individu de ressentir les registres de profondeur alors qu'il regarde un film au cinéma sur un écran plat, ou qu'il écoute de la musique. Dans le premier film de la trilogie Le Seigneur des Anneaux, de Peter Jackson, on se souviendra de la scène où des images de synthèse se succèdent à grande vitesse du sommet de la tour de Sauron jusqu'aux profondeurs de la terre où l'armée d'Orques est créée. Or, ce déplacement rapide d'images suscite une sensation de descente chez le spectateur, comme s'il expérimentait une chute à l'intérieur de lui-même, un certain mouvement accompagné d'un registre kinesthésique de profondeur. En somme, le registre que ressent le spectateur présuppose l'existence d'une échelle de valeurs associées à des sensations et perceptions accompagnées de représentations et qui sont intériorisées et distribuées à travers des points spécifiques sur le corps et dans le corps.
Par exemple, les chercheurs en réalité virtuelle ont constaté que les concepteurs de jeux vidéo font de plus en plus l'usage d'images visuelles et sonores qui suscitent des sensations de profondeur, de volume et de distance. En somme, la réalité augmentée - des images de synthèses produites à partir d'images photographiques et cinématographique-en est un exemple parfait. Si nous revenons à notre exemple de la musique, nous constatons que les sons aigus sont positionnés vers le « haut» tandis que les sons graves vers le « bas », ce qui dénote là aussi une spatialité et un positionnement de l'appareil de phonation associé aux sons. Prenons par exemple des mots tels que l'échec, une douce amitié ou un texte de poésie de Baudelaire: toutes ces paroles suscitent des représentations et des emplacements dans l'appareil des sens internes reliés aux émotions.
L'image
Afin de mieux saisir la fonction de l'image, nous allons reprendre l'approche de la psychologie phénoménologique développée par Silo. En fait, nous supposons que les approches ayant comme base la matérialité du phénomène perçu, l'inconscient ou la passivité de la conscience n'ont pas permis aux chercheurs de comprendre comment l'image permet ce lien entre l'intentionnalité de conscience et le monde.
Selon nous, toute sensation est traitée comme quelque chose de réel du point de vue de la conscience. En outre, nous nous sommes intéressés à la fonction de l'image et l'expérience vécue de l'apprenant - plus précisément à la façon dont nos sens fonctionnent et dont les actes de conscience nous donnent des impressions, des sensations et à la façon avec laquelle nous établissons des reconnaissances lors du processus d'acquisition d'un savoir et d'une connaissance.
L'image selon - Sartre
Dans
son ouvrage L'imagination,
Sartre
(1938) expose de nouvelles idées: il explique que l'image
n'est pas simplement une copie collée de la perception ou un élément
inerte tel que le concevait la psychologie classique, mais plutôt un
processus de synthèse qui entre dans le courant de la conscience.
L'image
est un de ces éléments et représente, à
notre
avis, l'échec le plus complet de la psychologie synthétique. On a
essayé de la rendre ductile, de l'affirmer, de la rendre aussi
subtile, aussi transparente que possible pour qu'elle n'empêche
pas les synthèses de se constituer { ... } Tout le mal vient du fait
qu'on en arrive à
l'image
avec l'idée de synthèse, au lieu d'extraire une conception précise
de la synthèse à
partir
d'une réflexion sur l'image.
(1936, p. 128)
Pour
Sartre, l'image n'est pas seulement un contenu psychique qui
sert de support à la pensée, mais elle constitue aussi une
structure et une intention.
Les recherches de
Philippe ont sans doute montré une schématisation progressive de
l'image dans la conscience. On admet maintenant l'existence
d'images génériques, les travaux de Messer ont révélé qu'il y
avait dans la conscience une multitude de représentations
indéterminées et l'individualisme berkeleyien est complètement
abandonné. Avec Bagson, RevauIt, d'Alionnes, Bez, etc. {..} la
vieille notion de schéma revient à la mode. Mais le principe n'est
pas abandonné: l'image est un contenu psychique indépendant
qui peut servir de support à la pensée, mais qui possède également
ses propres lois { ... } Par ailleurs, nous avons vu que l'état de
présence qui accompagne les représentations de dynamisme biologique
a remplacé la conception mécaniciste traditionnelle, il n'en est
pas moins évident que l'essence de l'image est toujours la
passivité. (1936, p. 68)
Sartre
souligne que l'image
est un type de conscience qui est consciente de quelque chose. Selon
lui, l'image
est une organisation synthétique se rapportant directement à
l'objet
existant et dont l'essence est spécifiquement de se rapporter d'une
façon particulière à
l'objet.
Quand
je perçois une chaise, il serait absurde de dire que la chaise est
dans ma perception. Ma perception est, selon la terminologie que nous
avons adoptée, une certaine conscience et la chaise est l'objet de
cette conscience. À présent, je ferme les yeux et je produis
l'image de la chaise que je viens de percevoir. La chaise, en se
donnant maintenant en image, ne saurait pas plus qu'auparavant entrer
dans ma conscience. En réalité, que je perçoive ou que j'imagine
celte chaise de paille sur laquelle je suis assis, elle demeure
toujours hors de la conscience. (2005, p. 20)
Finalement,
nous retenons de l'esquisse d'une théorie des émotions de Sartre et
de ses réflexions sur l'image que la psychologie moderne,
avec sa base positiviste et sa prétention de traiter les phénomènes
psychiques de la même manière que les phénomènes naturels, les a
isolés et séparés de la conscience qui les a pourtant constitués.
L'image n'est pas seulement un élément, mais une structure
et une intention qui entre dans le courant de la conscience.
La conception de l'image - Silo
L'ouvrage
Contribution
à la pensée contient
deux textes d'importances théoriques, dont
La
Psychologie
de l'image. Dans
ce texte Silo expose une nouvelle théorie qu'il appelle «espace de
représentation». Pour Silo, l'espace est une façon de placer la
conscience dans le monde et sans lequel il serait impossible de
comprendre comment l'intentionnalité de la conscience se dirige vers
les dénommés «
monde
extérieur» et « monde intérieur ». (1995, p. 3). Selon cette
théorie, l'image
est la façon active de placer l'intentionnalité de la conscience
dans le monde. Autrement dit, sans l'image
nous ne pourrions continuellement ré-apprendre et ré-alimenter la
représentation. Ce sont, entre autre, les
actes de conscience et ses registres (l'acte de penser, l'acte d'évoquer, l'acte de comparer, l'acte d'associer, etc) qui nous donnent des impressions, des sensations
et ces façons avec lesquelles nous établissons des reconnaissances et des automatismes.
En fait, Silo suggère une conception de
l'image complètement innovatrice. Il définit l'image
comme suit :
« une représentation structurée et
formalisée des sensations ou des perceptions qui proviennent [du] ou
précèdent le milieu extérieur ou intérieur» (1995, p. 5).
Ainsi,
l'image
n'est-elle plus seulement la résultante des stimuli reçus par les
sens externes et internes, mais sa constitution fait appel à
la
mémoire et à
l'appareil
de registres, autrement dit la conscience. L'auteur explique que
l'image
possède plusieurs fonctions, dont l'une est de rapprocher ou
d'éloigner la structure psychophysique des stimulations qui
arrivent, selon leur nature douloureuse ou agréable. Nous avons
constaté que peu de chercheurs se sont penchés sur le thème de
l'image
et
de l'intentionnalité de la conscience, malgré tout quelques-uns
commencent à
émettre
des intuitions quant à
la
nature de l'image
interne. En outre, Tisseron évoque l'idée que les images que nous
voyons déclenchent chez chacun de nous des résonances sensorielles
(schèmes sensori-affectivo-moteurs) en lien avec notre histoire
individuelle (1995). Il
en
déduit donc l'idée à
la
fois intéressante et très importante que nous ne sommes pas passifs
face aux images. (Michael Stora, 2003, p. 56)
Pourtant,
encore aujourd'hui plusieurs chercheurs considèrent l'image
comme une fonction de deuxième classe dans l'économie du psychisme.
Selon eux, l'image
est un type de perception dégradé. En outre, s'ils regardent un
objet et que, plus tard, ils évoquent l'objet, l'image
est d'une qualité inférieure à
la
perception. Dans ce sens, plusieurs
chercheurs considèrent que l'oeil
perçoit davantage l'objet que lorsque celui-ci est évoqué. Ils
s'entendent pour dire que la mémoire est teintée par un certain
nombre d'éléments bizarres contribuant à la confusion des
résultats lors de l'évocation de l'objet en question. Ils parlent
de « défaut » de l'image- c'est-à-dire le fait qu'elle
se déforme, se transforme et souvent se traduise vers d'autres
activités comme dans les rêves – pourtant toute cette activité
est extraordinaire puisqu'elle se retrouve à tous les niveaux de la
conscience en plus de démontrer toute la plasticité du phénomène.
Finalement, ces chercheurs supposent l'existence d'une forme de chute
dans la perception. Tandis que Silo et Sartre constatent qu'en
traitant la perception et l'image de cette façon, les
chercheurs l'ont classée loin dans l'inventaire secondaire des
phénomènes du psychisme. En ce sens, Silo réhabilite un certain
parallèle entre les représentations, les perceptions et la
spatialité de l'image interne.
Il est donc
important d'établir un parallélisme entre les représentations et
les perceptions génériquement classifiées comme « internes» et
«externes». Il est malheureux que la représentation eût été si
fréquemment limitée aux seules images visuelles et que de surcroît,
la spatialité se soit presque toujours référée au visuel alors
que les perceptions et les représentations auditives dénotent
également des sources de stimuli localisées «quelque part», tout
comme les perceptions et les représentations tactiles, gustatives et
bien sûr celles qui se réfèrent à la position du corps et aux
phénomènes de l'intracorps. (1995, p. 7)
En
fait, selon l'auteur l'intentionnalité de la conscience est active
dans le monde grâce à l'image.
Ainsi pour chaque perception il y a une représentation-sensation et
finalement une structure interne qui est l'image
interne et qui lie l'intentionnalité de la conscience aux dénommés
mondes. Finalement si l'image
est pour la conscience une façon d'être active dans le monde, cette
façon d'être doit nécessairement dépendre d'une spatialité
intérieure - que Silo nomme l'espace de représentation.
L'espace de représentation
Dans
ses travaux, Silo définit l'espace de représentation comme une
forme d'espace mental qui correspond au registre visuel interne des
sensations du corps permettant la connexion entre les productions
(les images internes) de la conscience et le corps lui-même.
L'auteur explique que l'espace de représentation est tel, non pas
parce qu'il est un contenant vide qui doit être rempli des
phénomènes de conscience, mais plutôt parce que sa
nature est «représentation» et que, lorsque des images précises
surviennent, la conscience ne peut que les représenter sous forme
d'extension. Quand l'auteur explique que l'espace de représentation
présente différents niveaux de profondeurs - il explique qu'il s'agit d'une
structure percepto-représentative de la cénesthésie. C'est grâce
à cela que les représentations apparaissent en haut ou en bas, à
droite ou à gauche, devant ou derrière, à l'intérieur du corps, à
l'extérieur du corps etc. De sorte que la localisation de l'image
dans différentes positions et différentes profondeurs de l'espace
de représentation déclenche l'action du corps.
Comme mentionné précédemment, les distinctions que
fait l'auteur entre espace intérieur et espace extérieur sont
basées sur les registres de limite imposés par les perceptions
cénesthésico-tactiles.
Selon
ce que nous avons vu et pour opérer, les images, dans leur référence
à
l'extrémité
ou à
l'intériorité,
doivent se placer en différentes profondeurs de l'espace de
représentation. (Si 10, 1995, p. 12)
Ainsi,
nous supposons que l'image occupe une position dans l'espace
de représentation, structurée et formalisée à partir de la
sensation et de la perception provenu ou qui proviennent des sens
externes ou internes.
Par exemple ce qui retient l'intérêt des téléspectateurs dans les aventures de Sherlock dans la série télévisée à la BBC, ce sont bien toutes les déductions impressionnantes de l'inspecteur à partir de détails insignifiants. Pour mieux saisir la méthode qu'utile Sherlock divisons-la en quelques parties. 1- Sherlock évoque un élément qui pourrait lui servir de piste et d'indice - c'est-à-dire la représentation ; fréquemment dans la série la caméra nous montre le travail d'évocation de Sherlock, une succession d'images qui défilent à l'écran; 2- il repère la représentation et l'associe à de nouvelles données de la perception ainsi se structure une nouvelle image.
Par exemple ce qui retient l'intérêt des téléspectateurs dans les aventures de Sherlock dans la série télévisée à la BBC, ce sont bien toutes les déductions impressionnantes de l'inspecteur à partir de détails insignifiants. Pour mieux saisir la méthode qu'utile Sherlock divisons-la en quelques parties. 1- Sherlock évoque un élément qui pourrait lui servir de piste et d'indice - c'est-à-dire la représentation ; fréquemment dans la série la caméra nous montre le travail d'évocation de Sherlock, une succession d'images qui défilent à l'écran; 2- il repère la représentation et l'associe à de nouvelles données de la perception ainsi se structure une nouvelle image.
Sherlock est à la recherche d'indices, le téléspecteur observe une sucession d'images à l'écran - c'est le travail d'évocation de Sherlock - entre autre on observe les déplacements de l'attention de l'inspecteur vers différentes positions dans son espace mental (espace de représentation).
La phénoménologie de l'espace
Silvia
Swinden (2006),
psychologue,
explique en termes anthropologiques que l'être humain a développé
à
travers
son histoire un certain caractère ancestral, qui détermine
l'emplacement des choses et des images dans son espace mental. Selon
elle, par exemple, les « bonnes choses» seraient localisées vers
le haut du corps, vers la tête, les idées, la raison, le solei1,
les cieux, les vertus, etc., tandis que les mauvaises choses seraient
distribuées vers le bas du corps, vers le sexe, vers les pieds, vers
la terre. La chercheuse souligne que ce sont les sensations et les
perceptions ressenties dans l'espace social qui vont conditionner
l'espace de représentation d'un individu. Swinden est d'ailleurs
l'une des premières chercheuses à
avoir
employé la théorie de l'espace de représentation dans ses
recherches. Selon elle, nous sommes nés dans un espace à trois
dimensions, notre tête se situe en haut et nos pieds en bas. Durant
la période formative, c'est-à-dire de l'enfance à l'adolescence,
le système nerveux de l'individu développe une anatomie et des
fonctionnalités afin de s'adapter à un nouvel espace. Il
est
maintenant reconnu qu'un chat élevé dans un espace contenant
essentiellement des lignes verticales ne pourra pas reconnaître, à
l'âge adulte, un espace avec des lignes horizontales. Dans ce sens,
Swinden souligne que le paysage social que nous percevons conditionne
notre espace de représentation et qu'il nous accompagne tout au long
de la vie adulte. Par ailleurs, l'être humain n'est pas un chat, et
il peut, de ce fait, actualiser ses connaissances et ses
représentations grâce à l'intentionnalité de la conscience. Selon
ces explications, il pourrait être fort intéressant d'étudier
l'espace de représentation des astronautes qui expérimentent des
déplacements et des mouvements du corps dans un espace à gravité
zéro, c'est-à-dire dans un espace ou forcément « en bas» et «
en haut» ne portent pas les mêmes significations en terme
d'expérience sensorielle que sur la terre.
Finalement,
cette brève étude sur l'image
nous montre comment l'image
est une façon pour la conscience d'être active dans le monde, et ne
peut être indépendante de la spatialité qu'elle remplit et de la
position qu'elle occupe dans cette spatialité. Nous supposons que la
théorie de l'espace de représentation présente de nouvelles pistes
de connaissances qui peuvent permettre de mieux décrire certains
phénomènes vécus par l'apprenant qui est en constante interaction avec les
données de la connaissance et avec l'acquision de savoir faire.
Dans
le prochain article nous allons davantage explorer la théorie de
l'espace de représentation, l'intentionnalité de la conscience, la
coprésence, la reconnaissance et l'expérience vécu de l'apprenant.
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Crédits photos, images : BBC series Sherlock Homes - UK, Le Seigneur des anneaux : Les Deux Tours (The Lord of the Rings: The Two Towers en version originale) New Line Cinema.
Notes et références:
Pour plus de renseigements sur l'approche développée par Silo procurez-vous l'ouvrage Note psychologique, disponible sur le site www.educationnonviolence.ca
Farrell, Anne. 2008. Étude du registre d'immersion et de l'État de présence interne chez les jeunes entre 11 et 15 ans qui socialisent dans les espaces virtuels. Université du Québec à Montréal, 136 p.
Sartre, Jean-Paul. 1938. Esquisse d'une théorie des émotions, Paris: Le livre de poche, références, (ouvrage publié la première fois en 1938 dans la collection Actualités Scientifiques Industrielles), p 123.
Sartre Jean-Paul. 1989. L'imagination, édition corrigée avec un index par Arlette ElkaïmSartre, Paris: Presses uni vcrsitaire de France, 164 p.
Silo. 200Ga. Notes de Psychologie, psychologie l, Paris: Éditions Références, 35 p.
Stora, Michael. 2003. La marche dans l'image: une narration sensorielle, Dossiers Sciences Humaines et Sociales, sous la direction de Mélanie Roustan, Paris: L'Harmattan, p 50-56.
Swinden, Silvia. 2006. From Monkey Sapiens to Homo Intentional. The Phenomenology, The Non-violent Revolution, Adonis & Abbey, UK, 258 p.


