La liberté d’action, l’engagement, les urgences et l'immédiat


Dans les blogues précédents nous avons traité de la crise générale du système et de la nécessité de donner une direction à nos actions. En effet, nous disons que puisque que nous vivons en relation avec les autres et que notre destin se joue avec le leur, nous avons une influence sur notre milieu immédiat.

De plus, nous avons dit que si nous considérons vivre dans une société violente, inégale et injuste, marquée par des crises progressives nous devrons étudier et analyser davantage la situation actuelle. Nous avons présenté plusieurs perspectives sociales et politiques qui proposent l'analyse des symptômes actuels sans pour autant reconnaître la direction du processus historique  enchevêtré dans la crise actuelle. 

Nous avons vu comment la vision structurelle de l'humanisme Universaliste se fonde sur la nécessité de se forger une compréhension globale. Nous avons dit que les humanistes Universalistes soutenaient cette vision. En fait, ils considèrent que le tout social est enchevêtré dans un processus d'accélération technologique et de désorganisation généralisé. Pour les humanistes, il s'agit d'un long processus historique qui se manifeste sous la forme d'une crise mondiale.  De plus, nous avons vu qu'aucun parti politique, aucun groupe social ou groupes financiers pourraient contrôler ce processus. 

En effet, pour les humanistes universalistes c'est dans la vie quotidienne de chacun que se déroule les actions possibles de changements. Dans les lieux ou se produisent les relations entre les personnes ou se construisent des réalités entre personnes. Pour les humanistes l'action personnelle doit être en accord avec l'intention et le projet de vie des personnes et non l'inverse. Autrement dit, ce n'est pas essentiellement le milieu qui dicte aux personnes comment penser, agir et sentir. Nous constatons que c'est plutôt - "la situation' et l'image d'un futur meilleur - qui permettent aux personnes de lancer leurs intentions vers des projets concrets qui débutent dans leur milieu immédiat et touchent l'ensemble de la société. En fait, fréquemment cette intention est ouverte sur le futur et accompagnée d'inspirations qui dépassent la vie immédiate et quotidien des personnes. Pour l'humaniste Universaliste agir avec cohérence c'est bien plus qu'un fait, c'est une intention, une tendance et une attitude. C'est une attitude tournée vers la liberté de choix et de l'action quotidienne. Ainsi tout changement que les personnes souhaitent doit être référencé à la situation qu'elles vivent.  

Par ailleurs, même si aujourd'hui, ce concept de "vivre de façon cohérente" nous semble évident, il demeure difficile de le mettre en pratique dans la vie de tous les jours. Étant conscient de cette problématique, l'humaniste Universaliste propose une série de points de repères appelés les principes de l'action valable. Évidemment, ici on ne propose pas un code moral du style .. il faut faire ceci ou cela .. mais  plutôt des points de repères qui aideront ceux et celles qui cherchent à maintenir une attitude cohérente dans un milieu en constant changements.  

En fait, je sais que c'est à partir des registres que me procurent mes actions que je perçois en moi des points de repères. Car toute action procure un registre. En règle générale, les personnes souhaitent produire des actions qui lesnent à évoluer et à se développer. Évidemment, elles ne vont pas produirent des actions qui vont causer du tort à elle-même ou leurs amis et familles. Les principes parlent d'évolution, d'harmonie, de processus, de liberté, de solidarité, du libre arbitre et de l'unité intérieur - (unité entre le penser, l'agir et le sentir et entre le temps et la mémoire). 

Afin de mieux comprendre les principes et leurs utilités nous allons aborder le principe de réaction : "Quand tu force quelque chose vers un but, tu produis le contraire".  

 « Quand tu forces quelque chose vers un but, tu produits le contraire »

En Orient, ce principe est nommé la Loi du Pendule tandis qu’en occident il se rapporte à la Loi du Cycle. Dans d'autres blogues nous avons présenté le principe « allez contre l’évolution des choses c’est aller contre soi-même ». Ainsi nous avons brièvement étudié cette idée de dépassement de l’ancien par le nouveau. En fait, la Loi du cycle se rapporte à l’évolution des choses. Comme par exemple, on peut dire qu’à mesure qu’une société progresse, elle écarte des valeurs comme par exemple celle de l'inégalité entre les femmes et les hommes, par exemple certaines structures sociales qui furent utiles pendant un certain temps, mais qui deviennent inacceptables à un autre moment

Ainsi souvent nous ressentons que quelque chose doit changer mais nous ne savons pas exactement comment faire, ni quand le faire. 

Pour illustrer le principe "Quand tu forces quelque chose vers un but, tu produits le contraire" nous allons présenter deux courtes histoires. La première histoire explique que lorsque nous forçons une chose vers un objectif particulier nous obtenons pas nécessairement ce que nous souhaitions tandis que la seconde se réfère à ces situations ou nous arrivons à atteindre l’objectif souhaité mais les conséquences collatérales sont telles qu'une partie de notre situation a régressée. Voyons la première histoire qui présente le cas du rebond de l'action

Le sermon sur le rebond de l’action


Bouddha dit : - « Si un homme me blesse, je lui rendrai ma tendresse ; plus il me fera de mal, plus il émanera de moi de la bonté ; le parfum de la bonté arrive toujours à moi et l’air triste du mal va vers lui ».

Un homme insensé insulta Bouddha et celui-ci lui demanda : - « Si un homme refuse le cadeau qui lui est dédié, à qui appartient ce cadeau ? » Et l’autre lui répondit : - « Dans ce cas il appartient à celui qui l’a offert ». – « Bien répondit Bouddha, - « tu t’es moqué de moi, mais je refuse le cadeau et te prie de la garder ; ceci ne serait-il pas pour toi une source de misère ? » Le mauvais homme ne répondit pas et Bouddha continua : - « Un homme pervers qui offense celui qui est vertueux, est comme celui qui regarde le ciel et lui crache dessus ; la salive ne salit pas le ciel, mais retombe et le tache ». – « Le calomniateur est comme celui qui lance de la terre à un autre lorsque le vent est contre lui ; la terre ne fait que revenir sur celui qui l’a lancée, et celui qui désire obtenir quelque chose qui n’est pas pour lui, obtient ce qui est pour lui ».

Dans cette histoire, il est intéressant de constater la progression trompeuse qui est pratiquée habituellement par les manipulateurs pour retourner des situations contre des objectifs prévus. Cette position, nous la retrouvons chez certains qui s'engagent dans des organisations humaines pour des motifs différents de ceux que l'organisation exprime et n'attendre que l'occasion pour se manifester.

Mais aujourd'hui, dans notre société de consommation on éduque les gens à toujours demander plus. Trop souvent on accepte la manipulation en mettant de l'avant le prétendu succès des manipulateurs.  Par conséquent, cette attitude génère beaucoup d’anxiété pour plusieurs qui vivent dans l'attente de recevoir quelque chose ou d'un résultat quelcontre. Certaines personnes vont entrer dans un état obsessionnel devant l'attente de résultats. On parle de comportement compulsif, « je veux cette chose maintenant». Je sire tellement telle chose que je suis prêt à fausser mon action, mes sentiments et ma pensée s'il le faut.

Par ailleurs,  il est très différent de faire quelque chose comme une fin en soi, sans attente, sans attache. Il me semble que l'anxiété reliée à un but est, en quelque sorte, de la possession à cette chose que l'on veut d'obtenir à tout prix, mais cette attitude génère une réaction d’enchaînement compulsif. D’une certaine façon l’anxiété est un état mental de dépendance et d’enchaînement. Voyons un conte qui traite de l'anxiété et de cette dépendance du mental d'une personne que veut posséder encore plus d' "OR" et qui croit que cette manière de faire va aider d'autres personnes dans son milieu immédiat.

Le Roi de l’Or


Le vieux Siléno était un satyre (moitié bouc et moitié homme) qui conseillait savamment Dionysos (Dieu du vin). Son esprit était profond et judicieux, mais était dissimulé sous une apparence grotesque.

Un jour, en raison de son aspect, il fut capturé pendant son sommeil par quelques paysans.  Ceux-ci, fiers de leur prise, amènent Siléno enchaîné devant le roi du lei, nommé Minas. 

Midas reconnut la nature du satyre et, après l’avoir libéré, organisa de grandes fêtes en son honneur, le priant de pardonner aux paysans leur erreur. Le sage Siléno accorda son pardon et voulut, e plus, récompenser le pieux esprit du roi. – « Demande ce que tu désires et je te l’accorderai – dit Siléno – mais sois raisonnable car ce que je te donne, je ne peux le retirer ensuite ». 

Alors Midas demanda au satyre ce qu’il avait désiré toute sa vie. Il demanda de pouvoir convertir en or tout ce qu’il toucherait, s’expliquant en ces mots « - Mon royaume est pauvre mais les gens y sont bons et unis. Si j’étais riche, le bonheur scellerait tant d’efforts et tant de privations, tout le royaume bénéficierait du don de son roi bien-aimé ». 

Siléno accorda à Midas ce qu’il souhaitait et disparut. Immédiatement les vêtements qui étaient en contact avec le corps du roi se convertirent en or. Alors Midas commencé à parcourir ses domaines et à transformer en or les maisons des paysans, leurs étangs, leurs cultures et leurs animaux devant l’étonnement et le remerciement général. 

Mais de retour au palais cette nuit-là, une clameur plaintive monta jusqu’à lui .. Ses sujets arrivaient avec des requêtes de plus en plus nombreuses. 

«   "Je ne peux traire mes chèvres en or ! – dit quelqu’un – et ma famille se trouvera sans lait et sans viande ». Les cultures ne donneront pas de fruits ! » crièrent d’autres. 

Et c’est ainsi que parvinrent jusqu’au roi toutes sortes de lamentations. Midas, réfléchissant à la solution du problème, se versa du vin et porta à sa buche différentes aliments et fruits. Tout se transforma en or et il n’eut plus ni liquide, ni aliment qu’il pût avaler. 

Dans ces circonstances, sa femme vient le réconforter en le caressant, mais immédiatement elle fut transformée en la plus belle des statues d’or. 

Midas fit pénitence en invoquant Dionysos afin qu’il rompe le sortilège de Siléno ; et le bon dieu fit revenir les choses à leur état premier. 

L’or disparu en fumée, les chèvres redevinrent chèvres s’agitèrent, les étangs recommencèrent à contenir les eaux, les cultures s’agitèrent au vent et la femme du roi sortit de son rêve d’or. Midas put alors manger et boire et remercia avec son peuple le dieu. 

Les effets indirects de la poursuite d’un but

Le conte nous permet de comprendre comment le principe  « Quand tu forces quelque chose vers un but, tu produits le contraire » est  lié à la possession. Finalement, on comprend que la possession mène à la souffrance. Lao Tse dit ceci : « Celui qui obtient a peu, celui qui partage a beaucoup ». En somme, de vouloir plus de choses n'indique pas nécessairement qu'une personne soit égoïsme ou de mauvaise foi. La majorité des personnes souhaitent obtenir de meilleures conditions pour eux-mêmes, leurs familles et les amis. Les problèmes surviennent lorsque nous n'avons pas bien évalué la situation et les conséquences collatérales de nos choix ou nous vivons de l'enfermement sur soi et oublions que nous vivons en société et avec d'autres.  Pire encore, si vous êtes en situation de pouvoir, n’exercez pas des pressions sur ceux qui dépendent de vous parce que ce faisant tôt au tard ils finiront par se rebeller contre vous. Et s’ils ont commencé à le faire, ils continueront à le faire.

Mais comment savoir si certaines choses sont forcées? Il faut observer comment on ressent les choses - observer si un malaise s'installe à l'intérieur de soi quand on fait quelque chose. Car si les choses ne changent pas, ce malaise pourrait devenir une dépression, une perte de sens ou encore une "violence". C'est-à-dire « une violence intérieure » qui dans les cas extrêmes exprime par l'explosion vers l’extérieur sous la forme de violence verbale, de violence physique et psychologique etc.  

Pour mieux comprendre ce phénomène de pousser des choses, nous allons traiter du thème de "l'urgence et de l'immédiat" qui surgit fréquemment au sein des organisations politiques et sociales et qui poussent certains militants à mettre de côté momentamément certains idéaux.
 
Les urgences et l'immédiat  
Mais qu'est-il donc arrivé à tant de bonnes personnes qui luttaient solidaires, au-delà de leurs intérêts immédiats pour un monde meilleur, pour l'égalité des femmes et des hommes, pour une éducation gratuite et de qualité accessible à tous, pour le droit à la santé et le droit des travailleurs, pour le désarmement nucléaire ? Pour la protection de l'environnement?

Nous devons voir les choses comme elles sont. Il est évident que depuis plusieurs décennies, certaines personnes en position de pouvoir ont forcé des choses en manipulant une doctrine, un ensemble d'actions ou une organisation. Ainsi ils ont rempla certaines priorités en prétextant répondrent à des "urgences". Mais de quel droit ces personnes ont-elles pu proposer un objectif et un destin à d'autres, pour ensuite dire que la valeur prioritaire était l'hypothétique succès de telle ou telle politique économique ou encore que la présumée 'lutte' au déficit était plus urgente que toutes les autres nécessités conjonctuelles qu'un État doit assumer envers ces concitoyens - telles que: assurer les droits humains pour tous, assurer l'éducation et la santé pour tous, l'égalité des femmes et des hommes, assumer assistance aux réfugiés, aux enfants abondonnés, aux personnes âgées, etc.  En fait, en agissant ainsi ces leaders ont remis à plus tard la poursuite des idéaux des centaines de milliers de militants. Et malheureusement plusieurs militants ont suivi leurs jugements! Conséquemment, aujourd'hui le découragement de millions d'êtres humains provenants d'anciennes générations et de nouvelles générations retardent la marche de l'histoire. Personnellement, j'aimerais rappeler à tous mes amis militants qu'ici ce qui est en jeu, n'est pas les facteurs mécaniques ou certains déterminants historiques, ici c'est notre intention humaine qui est en jeu. Du même coup, c'est l'intention des centaines de millions de militants à travers le monde!



Mais que c'est-il passé .. avec les bonnes personnes?

Il est souvent arrivé que de bonnes personnes engagées dans une action conjointe avec d'autres pour l'atteinte de certains idéaux sociaux, politiques ou encore économiques ont été manipulées sans nécessairement être consciente de ce fait. Mais après un certain temps, ces personnes engagées ont compris que d'autres personnes s'étaient engagées pour répondre à ces situations qui convenaient le mieux à leurs propres bénéfices immédiats et au bénéfice de d'autres qui n'étaient même pas membres de leur organisation. Or il est tout à fait convenable de dire que pour se sortir de nombreuses situations limites ces personnes "manipulatrices" étant en situation de pouvoir ont sacrifié certaines valeurs de l'organisation afin de répondre à leur propre besoin de succès personnel et à d'autres intérêts. Conséquemment les manipulateurs ont laissé tomber les idéaux de l'organisation en favorisant du même coup la désillusion de milliers de militants et le nihilisme croissant des populations.   

Il semble que cette attitude axée sur les résultats immédiats et cette course au succès personnel soient problématiques dans les organisations humaines. En effet, nous disons que cette progression trompeuse est pratiquée habituellement pour retourner des situations contre les objectifs prévus. Les conséquences fâcheuses de telles pratiques sont nombreuses et désastreuses tant au niveau social que personnel ; plusieurs militants perdent la foi dans des idéaux et dans les organisations ; plus personne ne croit en personne et dans la capacité d'opérer des changements ; la population perd la confiance dans les institutions et dans la démocratie ; tout le monde pointe l'autre avec des propos accusateurs.  

En fait, il me semble que cette façon d'organiser l'action politique et sociale qui dit qu'il faille concentrer le pouvoir de plusieurs dans les mains de quelqu'uns afin que les choses puissent évoluer et progresser est totalement inappropriée pour ce moment actuel. Puisqu' en fin de compte, ce type d'organisation humaine est essentiellement utile lors de réelles urgences c'est-à-dire durant les guerres et les catastrophes naturelles.

Aujourd'hui, évidemment personne ne veut s'impliquer dans des actions vouées à l'échec ou vouées à la manipulation et la corruption de certains, mais en même temps personne ne veut continuer dans une telle situation. En effet, l'inaction de centaines de millions personnes face à tout ce qui se passe aujourd'hui, laisse le champ libre à de plus grandes inégalités et injustices. En somme, des formes de discrimination et d'agression que nous croyions dépassées resurgissent avec force aujourd'hui. Pire encore, nous constatons que ces nouvelles monstruosités sont diffusés à grande échelle dans tous les grands médias et servent de référence sociale et un nombre de plus en plus croissant de personnes. Éventuellement, ne voyez pas surpris si un jour ou l'autre les représentants de ces monstruosités vous disent haut et fort ce que vous devez faire et ne pas faire en exigeant de vous toute l'obéissance d'un système de style fasciste ! 

Mais il existe des sorties à cette situation ceux et celles qui veulent travailler à partir de leurs aspirations et de leurs idéaux peuvent le faire sans pour autant être manipulés par d'autres. Il existe des façons de faire pour ce sortir de cette situation sans l'utilisation de la violence et de la menace.

D'une part, il faut continuer à dénoncer les injustices, les discriminations, les manipulations de toutes sortes ainsi que la corruption. D'autre part, le plus important, sera de savoir si nous souhaitons vivre de manière cohérente. Si la réponse est oui, alors nous devrons développer l'attitude cohérente .. Et comment allons pouvoir maintenir cette attitude cohérente dans une organisation politique ou sociale? Et surtout dans notre action avec d'autres. Nous devons êtres libre de nos propres choix et positions !




La liberté d'action et la libérté de nos engagements 
Nous disons qu'aujourd'hui, plus que jamais, le militant d'une organisation devra reconnaitre que lorsqu'il s'est mis d'accord avec d'autres sur une intention et que d'autres la sacrifie, ceux-ci ouvre la porte à n'importe quelle trahison négociée avec d'autres camps. Ainsi éventuellement certains justifieront la présence de cette prétendue "nécessité" et forceront les militants à changer la direction de leurs actions. En fait, il nous semble que déjà dans le projet initial cette intention de "tromper" les intentions des militants y était cachée. Ici, nous ne parlons pas des modifications tactiques dont tout militant comprend la relation avec cet objectif mobilisateur proposé initialement. Nous ne parlons pas non plus des erreurs possibles dans la planification des actions lors de la mise en place d'un projet collectif dans un certain milieu. Nous parlons plutôt de l'immoralité qui fausse les intentions

Finalement, selon moi, il est important de rester vigilant(e) et d'être attentif(ve) à nous-même et d'éclairer les autres sur ces questions afin qu'ils - qu'elles sachent d'avance que, s'ils- si elles rompaient leurs engagements, nos mains vont rester libres autant que les leurs, car nous ne forceront pas les choses pour répondre à certains intérêts qui pourraient être cachées ou encore pour répondre à des intérêts de d'autres personnes "supposément bien intentionnées". Bien au contraire, nous choisissons librement la direction et notre action et choisissons librement notre engagement avec les autres et nos positions.

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Références - Les ouvrages de l'humaniste Universaliste

Silo, Lettres à mes amis, À propos de la crise personnelle et sociale dans le moment actuel, Éditionférences, France, 1996.  



Crédit images:
1- Womens's rights : les suffragettes, wikipédia
2- Déclaration des droits de l'homme, wikipédia
3- La mosaïque inspirée du tableau de Norman Rockwell « La règle d'or »,
représente des gens de toutes origines, convictions et couleurs avec dignité et
respect. Elle porte une inscription signifiant « Comporte-toi avec les autres
comme tu voudrais qu'ils le fassent avec toi. » Photo © ONU/Milton Grant - les Droits de l'homme et la diversité culturelle référence - (http://www.un.org/fr/rights/overview/themes/culture.shtml

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