Les britanniques ont choisi le repli et ne veulent pas se faire imposer les valeurs de d'autres!
Les britanniques ont choisi le repli identitaire et ne veulent pas se faire imposer les valeurs de d'autres cultures !
(Wikipédia : une statue de Britannia à Plymouth)
No ! 52% des britanniques veulent le Brexit
Aujourd’hui, nous savons que les
transformations rapides affectent les économies, les mœurs, les idées et les
croyances, et entraînent une certaine désorientation qui semble asphyxier les
individus et les peuples qui cherchent des façons de contrôler leur propre vie,
leur citoyenneté et leur identité. En fait, à travers le monde les interactions
entre les groupes économiques, entre les cultures, les groupes ethniques et religieux créent des chocs, des
conflits et des guerres. Plusieurs valeurs contrastantes pénètrent chez nous et
plusieurs se demandent mais qu’est-ce qui bon de tout ça ?
Aujourd’hui les britanniques se
sont prononcés et 52% d’entre eux affirment qu’ils veulent le Brexit et ne veulent pas se faire imposer les valeurs de d'autres cultures. Il me semble que ceux qui
souhaitaient que les britanniques demeurent dans l’Europe n’ont pas réellement
pris en compte les perceptions, les peurs et la perte d’orientation que vit une
partie de la population. D'une part, nous savons que la peur génère de l'xénophobie et favorise un certain repli identitaire. En fait, voici quelles unes de mes observations concernant le résultat de ce référendum :
1– Il me semble que pour une partie
de la population britannique le processus de la mondialisation est perçu comme
trop grand, trop rapide et hors du contrôle de la citoyenneté. Conséquemment,
avec la crise des réfugiés en Europe, la perception de leur propre citoyenneté
et « identité » c’est davantage aggravé. Il me semble qu’une
partie de la population vit un repli et cherche à protéger la culture et la souveraineté - advenant des événements imprévisibles. Malheureusement, cette situation a favorisé de nouvelles formes émergentes d'xénophobies voire du racisme.
2– Pour le citoyen moyen anglais,
de continuer l'association avec l’Europe implique d’ouvrir les portes au monde, et aux
problèmes du monde, problèmes qui quelques fois sont le résultat d’histoires
complexes et difficiles à suivre. Pourtant les politiques colonialismes et néo-colonialismes des britanniques ont grandement contribué à plusieurs de ces problèmes à travers le monde et à travers l'histoire. D'autre part, les britanniques ne veulent pas que l'Europe impose des valeurs et des politiques.
3– Les britanniques, comme le reste
d’entre nous, vivent dans un moment de confusion sociale et ne savent pas vraiment ce qui
va se dérouler dans un proche avenir. Ainsi les grands médias britanniques
n’ont fait qu’accentuer ce sentiment. En effet, à voir défiler tous ces images de terroristes dans les grands médias « c’est un peu comme si les
terroristes débarquaient dans le salon des britanniques, ou comme si leur
voisin était de potentiels terroriste. » Vivant à l'écart du continent européen les anglais ne veulent pas que ces événements surviennent chez eux. Pourtant les gouvernements du Royaume Uni ont contribué à cette montée de l'intégrisme en participant depuis des années aux guerres en Syrie, en Irak et en Afghanistan.
4- Comme partout ailleurs dans le
monde les valeurs de l’individualisme chronique et de la compétitivité sont promue
par le néo-libéralisme ambiant et favorise l'égoïsme et la perte des solidarités communautaires. Les riches deviennent de plus en plus riche alors que la classe moyenne s'appauvrit et les pauvres n'ont plus rien. En effet, sans image mobilisatrice tournée vers le futur la population veut avant tout protéger le peu des acquis qu'il lui reste - (en Angleterre comme au Québec les populations vivent les conséquences sociales de mesures d'austérités imposées par les gouvernements néo-libéraux, - au cours des années les coupures dans les programmes sociaux et dans l'éducation ont frappé dur les plus pauvres et la classe moyenne).
5- Pour les britanniques, l’Europe propose peu d'images mobilisatrices «des images traceuses qui portent un espoir et un progrès social pour tous».
Ce résultat du référendum est tout de même ironique. En effet, il a y plus de 300 ans c'est en Angleterre qui naissait le système libéral. Aujourd'hui, c’est tout de même incroyable que 52% de population
se retourne contre certaines idées de base du néo-libéralisme comme le
libre-échange, la liberté de circulation des personnes, etc. Est-ce que cet événement annonce la chute du
néo-libéralisme ? En tout cas cet événement annonce la fermeture des frontières de la Grande-Bretagne et la fin de la liberté de la circulation des personnes entre le Royaume Uni et l'Europe !
La mondialisation n’est pas uniquement négative
Mais la mondialisation n’est pas
uniquement quelque chose de négatif. En effet, c’est grâce à la mondialisation
que nous avons avancée à ce point et que toutes les cultures convergent pour la
première fois vers un futur et destin collectif. En fait, la mondialisation a permis un niveau
d’interaction entre les gens, les choses, les groupes et les manières de faire
qui ne s’était jamais vu auparavant en plus de générer des opportunités pour
échanger des idées et des modèles culturels. Il a aussi été démontré que les
différences entre les individus ne sont pas aussi grandes. Par exemple, si l’on
compare les expériences et les aspirations que partagent aujourd'hui les
nouvelles générations, les jeunes sont plus proches les unes aux autres, et ce, même s'ils vivent dans des contextes culturels et géographiques diverses.
Mais pour les anciennes
générations, le paysage social et historique a violemment changé, par rapport à
ce qu’il était il y a encore quelques années. D’un côté, nous trouvons des
groupes influents et des générations au pouvoir qui persistent à utiliser, pour
interpréter ces nouvelles situations, des outils appartenant au vieux
monde et à une autre sensibilité - comme la peur, la manipulation, la corruption et la menace. Malheureusement ces groupes sont déphasés par
rapport au moment actuel et n’arrivent pas à comprendre la nouvelle sensibilité. Cette façon de faire les choses accroît les
difficultés. En fait, ces groupes ont été formés à une autre
époque et sont incapables de modifier leur regard malgré le rythme des événements
et des changements dans les sociétés. Ils sont incapables de proposer de nouveaux modèles tournés vers l'avenir qui pourraient inspirer les populations vers un nouveau moment.
Les nouvelles générations
Aujourd’hui, c’est pourquoi que
partout à travers le monde se creuse un fossé entre ceux qui détiennent les pouvoirs
économique, politique, technologique, artistique et les nouvelles générations
qui appréhendent autrement les fonctions que doivent accomplir les institutions
et les leaders. Pour les nouvelles générations le modèle économique et social
qui alimente les discussions quotidiennes n’est pas un thème fondamental dans
leur vie. En effet, les nouvelles
générations espèrent seulement que les institutions et les leaders en seront
pas une charge supplémentaire qui va s’ajouter à un monde déjà suffisamment
compliqué. D’un côté, les nouvelles
générations espèrent une nouvelle alternative, car les modèles existants sont
épuisés. Par ailleurs, elles ne sont pas prêtes à suivre des propositions et
des leaders qui ne coïncident pas avec leur sensibilité.
Actuellement, il semble important
de nous demander si le regard dont a usé les leaders et les institutions
jusqu’à présent pour analyser et comprendre les situations actuelles tant au
niveau de la société que de l’éducation est toujours adéquat. En somme, depuis
quelques années les scientifiques ont cessé de croire qu’ils observaient la
réalité même - ils se sont
souciés de comprendre comment leurs propres observations interféraient avec les
phénomènes étudiés. Ainsi, ils ont compris que même le regard dirigé
vers un champ d’étude s’orientait déjà vers une région déterminée à celui-ci.
Conséquemment, il pourrait arriver que nous prêtions attention à des questions
sans importances – comme les marchés financiers, le PIB, les normes, la régulation, etc.
Mais le plus grave est quand
certains justifient des positions politiques en affirmant qu’elles tiennent
compte de l’être humain alors que ceci est faux, car ce n’est pas de lui dont
on tient compte mais de d’autres facteurs reléguant ainsi la population en
position d’accessoire. Aujourd’hui, à méconnaître les besoins actuels de l’être
humain, certains sont surpris de constater le repli
identitaire, le découragement social de centaines de milliers de jeunes, les
débordements violents ou encore cette fuite en avant dans la névrose, le
suicide et les drogues.
Or, c’est dans un tel contexte que les humanistes
Universalistes soulèvent des questions existentielles : Dans quelles conditions voulons-nous
vivre ? Sommes-nous prêts à continuer de soutenir cet individualisme chronique axphysiant qui favorise le repli identitaire et la montée de l'xénophobie ? Sommes-nous prêts à continuer à suivre des leaders
qui ne savent pas comment tenir compte des besoins réels de l’être humain et protéger les identités culturelles - car leur regard essentiellement tourné vers les chiffres et les marchés ? Comment
réconcilier la culture au phénomène croissant de la mondialisation sans y perde
notre propre identité ? Comment réconcilier le personnel et le social sans opposer l'un à l'autre et vise et versa? Est-il possible de former une nouvelle image, un nouveau concept ou chaque culture pourra apporter son expérience, son
identité, sa couleur, sa musique et sa façon de s’approcher du divin ou de
l’athéisme sans qu’une Nation impose sa culture et un modèle économique dominant sur les autres ?
C’est dans ce contexte que l’humanisme Universaliste s’intéresse à la
convergence des diversités, des cultures, des personnes, des idées, des croyances et des solidarités.
L’identité personnelle et l’intentionnelle
L’humanisme Universaliste avance
avec des idées et des réflexions tournés vers le futur. En fait, on croit normalement
que l’identité se réfère au passé et qu’il s’agit du reflet d’une accumulation
historique d’expériences vécues par une personne ou une communauté de
personnes, comme si des couches d’expériences s’accumulaient et se déposaient
pour former l’identité. Mais, cette croyance est dérivée d’une
autre qui nous dit que la conscience est passive. En effet, on nous dit que la
conscience est telle un miroir qui reflète le monde sans le modifier. En
réalité, les choses ne sont pas ainsi. Si nous nous regardons nous-mêmes, nous
verrons que dans les moments les plus importants de nos vies, nous faisons des
corrélations et des liaisons entre nos expériences passées et nos idées de
projets personnels futurs.
(Wikipédia:Martin Luther King marche vers Washington pour le travail et la liberté, 1963)
En fait, nous sommes ce qui est
arrivé mais nous sommes aussi nos projets. Cette image de ce que nous voulons
être a une influence permanente sur nos actions et sur le moment présent. Nous
vivons dans un moment de crise, de transition et c’est cette image « de
transformation du monde » qui réside en chacun de nous. Par ailleurs, il est évident que le statu quo culturel vit un déclin comme nous l'a démontré la population du Royaume Uni, et ce, même si certains britanniques ont l'impression d'avoir voter pour la meilleure sortie afin de protéger leur culture et la souveraineté. Évidemment les choses iront de pire en mal pour les britanniques qui devront vivre dans la division. Ainsi pour se sortir de cet impasse des images mobilisatrices et rassembleuses devront être avancées, sinon les différentes divisions se retrouveront bientôt face à face et non côte à côte.
Notre futur à tous
En fait, pour sortir de cet impasse culturel, nous devons réaliser que la charge des images du futur est beaucoup plus forte que la mémoire et le souvenir. Puisqu'ici c’est notre futur personnel et collectif dont il est question - et cette situation n'a rien a voir avec les marchés financiers, l'argent le taux de croissance et "tatitata ..lala". Nous savons que l'image du futur doit posséder une charge et une énergie qui alimentera la modification de notre regard. Ce sont des images « guides ». Par exemple, l’un des témoignages les plus percutants que nous a légué l’histoire récente est le discours de Martin Luther King en 1963 sur les marches du Lincoln Memorial à Washington, lors de la marche pour le travail et la liberté.« I have a dream » « Je fais un rêve ». « J’ai encore un rêve. Mon rêve fait partie du rêve américain. Je rêve qu’un jour notre pays se décidera à appliquer véritablement ses principes, d’après lesquels nous tenons ces vérités pour évidentes que les hommes sont nés égaux. Je fais le rêve que, un jour, sur les collines rouges de Georgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d’esclaves seront capables de s’asseoir ensemble à la table de la fraternité. Je fais le rêve qu’un jour viendra ou l’état du Mississipi, un état ravagé par la flamme de l’injustice et de l’oppression, se transformera en une oasis de liberté et de justice. Je fais le rêve que mes quatre enfants vivront un jour dans une nation ou ils ne seront pas jugés selon la couleur de leur peau, mais selon leur personnalité. »
King a prononcé ce discours à un
moment tournant de l’histoire américaine. En 1963, ce fut un moment très difficile pour la population afro-américaine qui était systématiquement discriminée par les institutions essentiellement formés d'hommes blancs. À ce moment, le rêve Américain excluait les individus afro-américains. À cet époque dans plusieurs états américains les personnes blanches avaient leurs propres écoles, restaurants, quartiers, églises, ect tandis que les noirs vivaient dans la pauvreté totale.. s'était la ségrégation! Parce que les hommes blancs étaient perçu comme des êtres supérieurs, ils ne pouvaient vivre côte à côté avec des hommes dits "inférieurs".
Heureusement, le discours de King a permis de synthétiser
le sentiment d’oppression et de discrimination que vivaient plusieurs générations
d'afro-américains africains. Ainsi au lieu de confronter les blancs, Martin Luther King propose la réconciliation entre les descendants des esclaves "noirs" et les descendants des maîtres "blancs". En quelque sorte, nous pourrions dire que son discours provenait du futur parce que celui-ci traçait une direction identitaire commune pour le peuple Américain. - même si plusieurs groupes influents étaient en désaccord avec ces images. Ces images étaient
tellement fortes qu’elles ont inspirées des millions d'afro-américains et Américains blancs sur plusieurs décennies. En sommes, ces images ont inspiré plusieurs peuples à
travers le monde. Encore aujourd’hui, le discours extraordinaire de
King résonne à travers le monde. Imaginons un instant, qu'est-ce que l'Amérique aurait l'air aujourd'hui, si King avait proposé à la populations d'Afro-américains de prendre les armes pour se défendre ? ou encore qu'ils avaient demandé l'expulsion les hommes blancs des États-Unies ?
Bon les choses étant celles que nous connaissons, grâce à cet extraordinaire contribution de Martin Luther King et cet extraordinaire moment de solidarité entre plusieurs dizaines de milliers d'Américains les choses sont quand même bien déroulée. En fait, aujourd’hui je reconnais l’importance des images traceuses et identitaires. De telles images existent dans toutes les cultures et alimentent la quête d'une liberté et d'une reconnaissance de la diversité de l’être
humain dans son expression culturelle et sociale. Ces images réconcilient le personnel et le social. Ces images proposent de l’espoir et servent de guides pour orienter l'action personnelle vers un monde meilleur. En réfléchissant à de telles images nous nous trouvons face à des thèmes existentiels par exemple : Qui sommes-nous ? Qu’est-ce que nous
avons fait ? Qu’est-ce qu’on nous a fait ? Comment allons nous, nous réconcilier avec les autres ? Quels sont nos projets et nos
aspirations communes ?
Finalement je dis que l’Europe a échoué. L'Europe a échoué parce qu'elle propose des images politisées, centralisées et bureaucratisés. Mais aujourd'hui ce n'est pas seulement l'Europe qui a perdue. Mais le Royaume Uni! Le Royaume Uni a perdu son sens et son orientation en tant que grand pays. Cette culture a choisi le repli identitaire et l'exclusion. Est-ce réellement ce que souhaite les britanniques ? Et si certaines régions au Royaume-Uni veulent rester en Europe ? Qu'est-ce que vont faire les britanniques ? Les britanniques vont-ils briser leur empire en morceau ?
Mais .. ce n'est pas seulement les britanniques qui n'en peuvent plus de se faire imposer des valeurs .. et se faire imposer des dictats .. Nous sommes tous asphysiés par la politique de la terreur, par l'économique de la concentration et par cette bureaucratie du contrôle et de la surveillance du tout sociale. Nous sommes tous à "boutte" de cet anti-humaniste qui pointe de faux coupables - en discriminant les réfugiés, les immigrants, les jeunes, la communauté LGBT et les femmes. Il ne semble que nous sommes plusieurs centaines de millions de personnes à la recherche d'un nouvel l'espace afin que nos rêves et nos projets puissent prendre racine.
Aujourd'hui, il faut commencer à se parler et ouvrir un dialogue avant que les forces de l'anti-humaniste gagnent d'autres points sur la planète!
En fait, l'Europe doit rapidement se relever et réfléchir à ces images traceuses de l'identité Européenne sans imposer des valeurs et des dictats aux cultures qui forment l'ensemble Européen. Des images qui projettront de l'espoir sans centraliser pouvoirs et capitaux. Des images qui permettront aux citoyens européens de vivre une sensibilité européenne qui pourra transformer cette mondialisation contrôlante, écrasante et étouffante !! C'est l'Europe des opportunités sociales et culturelles, l'Europe du développement humain. Européens soyez le modèle que le monde attend de vous, montrez-nous ce que vous êtes! Votre passé contient des moments inspirants.. pensons à la renaissance Italienne.. Ces moment peuvent vous aider à trouver des indices afin de résoudre la situation actuelle et inspirer d'autres régions monde.
_________________________________________________Mais .. ce n'est pas seulement les britanniques qui n'en peuvent plus de se faire imposer des valeurs .. et se faire imposer des dictats .. Nous sommes tous asphysiés par la politique de la terreur, par l'économique de la concentration et par cette bureaucratie du contrôle et de la surveillance du tout sociale. Nous sommes tous à "boutte" de cet anti-humaniste qui pointe de faux coupables - en discriminant les réfugiés, les immigrants, les jeunes, la communauté LGBT et les femmes. Il ne semble que nous sommes plusieurs centaines de millions de personnes à la recherche d'un nouvel l'espace afin que nos rêves et nos projets puissent prendre racine.
Aujourd'hui, il faut commencer à se parler et ouvrir un dialogue avant que les forces de l'anti-humaniste gagnent d'autres points sur la planète!
En fait, l'Europe doit rapidement se relever et réfléchir à ces images traceuses de l'identité Européenne sans imposer des valeurs et des dictats aux cultures qui forment l'ensemble Européen. Des images qui projettront de l'espoir sans centraliser pouvoirs et capitaux. Des images qui permettront aux citoyens européens de vivre une sensibilité européenne qui pourra transformer cette mondialisation contrôlante, écrasante et étouffante !! C'est l'Europe des opportunités sociales et culturelles, l'Europe du développement humain. Européens soyez le modèle que le monde attend de vous, montrez-nous ce que vous êtes! Votre passé contient des moments inspirants.. pensons à la renaissance Italienne.. Ces moment peuvent vous aider à trouver des indices afin de résoudre la situation actuelle et inspirer d'autres régions monde.
Tiré de l'essai : Dialogue et Nonviolence Active, contrer l'intimidation
Anne Farrell, 2016.